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Les réservations pour Fribug sont ouvertes

Dernière mise à jour : 22 oct. 2022

Créée par Jean-Luc Nordmann en 1999, la revue fribourgeoise est de retour. Sa cuvée 2022 sera servie du 25 novembre au 31 décembre à l'Auberge communale d’Ecuvillens


Comme Noël ou Nouvel-An, Fribug est attendu chaque hiver depuis plus de 20 ans avec impatience par les Fribourgeois. Dans la cité des Zaehringen, si ce n’est les canards et autres «crapauds» édités à l’occasion du Carnaval des Bolzes ou dans un autre registre le discours de la Saint-Nicolas, la revue satirique n’était pas vraiment une tradition en ville jusqu’en 1999. Cette année-là, Jean-Luc Nordmann a décidé de changer la donne. Avec son camarade Michel Sapin, un ancien du défunt «Cabaret Chaud 7», l’ancien patron de la Placette – devenue Manor entretemps – s’est en effet mis en tête d’animer son «Espace galerie», au sous-sol du centre-ville, avec un spectacle digne de ce nom, égratignant quelque peu la «nomenklatura» fribourgeoise à la veille des fêtes.



Selon la presse, près de 3 500 spectateurs ont assisté à l’époque aux représentations de cette première «vraie» revue fribourgeoise. Les textes de la première édition avaient été écrits par l’historien et journaliste Jean Steinauer, un copain d’enfance de Jean-Luc Nordmann, qui a été l’auteur durant plus de 10 ans des sketches de Fribug. La musique du spectacle avait été composée par Iannis Kyriakidis, un ancien cabarettiste lui aussi du CC7. C’est en 1999 également que Jean-Luc Nordmann a franchi un cap. Pour se tester sur scène, le producteur est devenu acteur. «J’avais demandé que l’on m’écrive quelques répliques et je me suis retrouvé dans le rôle à contre-emploi de secrétaire syndicaliste. Cela m’a bien plu et depuis j’ai toujours le même plaisir à remonter sur les planches chaque fin d’année», se remémore l’ancien patron du Manor de Fribourg qui avait aussi eu l’occasion de démontrer ses qualités de chanteur en fredonnant sur un air de Trenet Que reste-t-il de nos Trois-Tours?».


Entre 4500 et 5000 spectateurs attendus à Ecuvillens


La suite, on la connaît. Depuis 23 ans, Fribug revient régulièrement dérider les Fribougeoises et Fribourgeois en fin d’année. Après l’Espace Galerie en alternance avec le restaurant attenant, la revue fribourgeoise a notamment investi la salle du Café des Tanneurs en Basse-Ville, le Bilboquet, la salle du collège de Gambach en 2015 pour Yahvé, Dieu et tout le tral'Allah, le restaurant du Mouret ensuite et enfin, depuis l’an passé, l’Auberge communale d’Ecuvillens. Entre 4500 et 5000 spectateurs y sont attendus cette année.


Si vous avez envie d'avoir plus d'information et si vous n’avez pas encore réservé vos places, cliquez sur ce lien. A bientôt ici ou sur le site de Fribug, pour de plus amples informations. La «Gazette de Fribourg» peut en effet s'enorgueillir d'être le partenaire média de cette édition 2022 de la revue.

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